Jours fériés : La résistance populaire face aux attaques parisiennes

Un rejet massif des propositions centralistes

Dans un nouveau chapitre de la crise économique qui menace nos territoires, Paris tente une nouvelle fois d'imposer sa vision centralisatrice. La proposition de François Bayrou de supprimer le Lundi de Pâques et le 8 mai se heurte à un rejet massif : 79% des sondés s'y opposent fermement.

L'attaque contre nos traditions

Cette tentative d'effacement de nos jours de commémoration et de tradition, notamment le Lundi de Pâques, symbole de notre héritage chrétien, révèle une fois de plus la déconnexion entre Paris et nos territoires. Comme dans le conflit qui oppose actuellement plusieurs communes de Gironde, c'est notre autonomie qui est en jeu.

Une résistance qui transcende les clivages

Le rejet est unanime, dépassant les traditionnelles divisions politiques :

• 89% des sympathisants socialistes s'y opposent
• 87% des proches du Rassemblement national rejettent la mesure
• 52% des soutiens de la majorité présidentielle désapprouvent

La manipulation des chiffres par l'État

Comme nous l'avons déjà observé dans d'autres cas de manipulation des chiffres par l'État, le gouvernement tente de justifier cette attaque en prétendant que les Français ne travaillent pas assez. Une affirmation démentie par l'économiste Éric Heyer.

La menace sur nos acquis sociaux

L'offensive ne s'arrête pas là : le gouvernement envisage maintenant de nous faire vendre notre cinquième semaine de congés payés, un acquis historique de 1982. Une attaque frontale contre nos droits sociaux qui ne convainc que 41% des sondés, principalement parmi les plus aisés (52%).

Conclusion

Cette nouvelle tentative de Paris de rogner nos droits et nos traditions se heurte à une résistance populaire massive. Il est temps de réaffirmer notre autonomie face à ces attaques répétées contre notre mode de vie et nos valeurs.