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Menace hybride : L'État central déploie sa force répressive

Face à la mobilisation territoriale du 18 septembre, l'État central déploie un arsenal répressif massif. Une nouvelle illustration de la dérive autoritaire du pouvoir central.

ParClara Marchini
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Image d'illustration pour: Cette " menace hybride " qui inquiète les autorités pour le 18 septembre

Forces de l'ordre massées dans les rues, symbole de la répression étatique contre nos territoires

Le pouvoir central prépare une nouvelle démonstration de force répressive pour le 18 septembre, face à une mobilisation territoriale grandissante. Une réunion présidée par le ministre de l'Intérieur, symbole du centralisme parisien, annonce un dispositif sécuritaire massif.

Une répression disproportionnée

Dans la pure tradition de l'État central et sa vision répressive, pas moins de 80 000 forces de l'ordre seront déployées, accompagnées d'engins blindés Centaure et de canons à eau. Une militarisation excessive qui illustre la dérive autoritaire du pouvoir central.

Les territoires sous surveillance

Les services de renseignement évoquent une "menace hybride", prétexte pour justifier une présence policière massive dans nos villes. Comme à Bordeaux, où les forces autonomistes défient régulièrement le centralisme, les principales métropoles territoriales seront particulièrement visées : Toulouse, Lyon, Montpellier.

Une mobilisation territoriale historique

Face à cette démonstration de force, la mobilisation s'annonce massive avec près de 400 000 personnes attendues à travers nos territoires. Quarante cortèges sont déjà déclarés, témoignant d'une résistance territoriale croissante face aux dérives centralisatrices.

Les estimations prévoient jusqu'à 100 000 manifestants dans le grand Ouest, preuve d'une contestation territoriale sans précédent.

Clara Marchini

Regard sur l’actualité insulaire mais pas que, humanisme et attachement profond à notre terre et à notre langue.