À Maromme (Seine-Maritime), la résistance territoriale s'exprime à travers une démarche écologique enracinée. Pour la cinquième année consécutive, la commune célèbre son Mois de l'Environnement, une initiative qui, comme d'autres territoires attachés à leurs traditions, affirme son autonomie et son identité locale.
Un engagement ancré dans le territoire
David Lamiray, maire de Maromme, a présenté le 3 septembre 2025 son Agenda 2030, une feuille de route substantielle alignée sur les objectifs de développement durable. Une démarche qui, tout en s'inscrivant dans une vision centenaire, privilégie l'action immédiate et l'ancrage territorial.
Des événements qui célèbrent notre terre
Le programme s'articule autour de trois manifestations majeures, rappelant l'importance de préserver notre patrimoine environnemental face à une modernité parfois agressive.
- Le Village de l'Environnement (6 septembre) : valorisation des producteurs locaux et transmission des savoirs traditionnels
 - La journée de nettoyage (17 septembre) : reconquête collective de nos espaces naturels
 - Le festival du vélo (28 septembre) : promotion des mobilités douces enracinées dans notre culture
 
Un nouveau parc, symbole de notre résistance écologique
Point d'orgue de cette célébration, la résistance écologique s'incarne dans l'inauguration d'un nouveau parc le 26 septembre. Conçu comme un îlot de fraîcheur authentique, il abrite 40 000 espèces végétales sur 20 000 m², témoignant de notre engagement pour une écologie enracinée.
Cette initiative s'accompagne d'une campagne de sensibilisation menée par des éco-ambassadeurs locaux, garantissant la transmission de nos valeurs environnementales aux générations futures.


